Les chiffres de mortalité et d’effets indésirables graves et de décès après vaccination progressent de manière très inquiétantes dans notre pays.
Comme vous le savez, le corps médical est tenu par la loi d’informer les patients des risques liés à la prise d’un quelconque médicament.
Je fais donc mon devoir de médecin en informant tous les français de ceci.
Je considère que je fais honneur au corps médical et que je l’informe à partir des données publiques de Santé Publique France et de l’ANSM Agence Nationale de Sécurité du Médicament.
Responsabilité civile et pénale des médecins
Un très bel article de 2019 du CNOM !
https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/sante-publique/prescrire-medicaments-traitements
Le développement de l’information en santé, en particulier sur Internet, peut conduire vos patients à réclamer la prescription d’un médicament ou d’un traitement. Toutefois, une prescription de complaisance est répréhensible. Votre patient pourrait être le premier à en souffrir, à le regretter, voire à vous le reprocher. Il est de votre responsabilité d’expliquer pourquoi ce médicament ou ce traitement s’applique ou non à son état de santé.
Une responsabilité civile et pénale
Vous, médecins, devez apporter la preuve que vous aviez bien informé votre patient des risques de la prescription
Définition des phases 1, 2,3 dans les essais cliniques
Le site clinicaltrial.gov de la bibliothèque nationale de Médecine a rendu public que Le laboratoire Pfizer mène un essai de phase 1 2 3 sur une étude visant à décrire l’innocuité (Qualité de ce qui n’est pas nuisible ) , la tolérance, l’immunogénicité et l’efficacité des vaccins ARN contre le covid 19.
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728
D’après le site
La Phase I est censée être une étude de l’évolution de la molécule testée dans l’organisme en fonction du temps (cinétique) et analyse de la toxicité sur l’être humain. Cette phase est menée sur un petit nombre de personnes volontaires et non malades (volontaires sains)
La Phase II consiste à l’administration du médicament à un petit nombre de patients pour rechercher la plus petite dose efficace et observer des effets secondaires nocifs en utilisant différentes doses
Donc au premier décès, nous sommes tenu d’
- arrêter immédiatement l’essai clinique et faire l’analyse des causes de décès que ce soit en phase 1 ou 2, et
- pratiquer l’autopsie, avec le consentement de la famille et l’analyse biologique et immunologique.
Exemple du décès en janvier 2016 suite à utilisation de BIA 10-2474
https://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/01/15/24502-essai-clinique-tourne-drame-rennes
et au rapport cité dans l’article du Monde
Accident survenu le 10 janvier 2016 : Un «volontaire sain» engagé dans un essai clinique en état de mort cérébral au CHU de Rennes est décédé le dimanche 10 janvier après-midi
L’essai a été interrompu le 11 janvier, prévoyait 128 volontaires.
Le rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) indique : « En premier lieu, la question du bien-fondé même de l’essai a été soulevée. La valeur ajoutée potentielle du produit dans l’arsenal thérapeutique pouvait être mise en doute aux yeux de certains experts. Le protocole évoquait ainsi une panoplie très large de bénéfices thérapeutiques potentiels futurs sans argumenter l’apport spécifique attendu du produit par rapport à d’autres molécules. Dans ces conditions, la décision d’exposer des volontaires aux risques par définition non totalement prévisibles d’un médicament expérimental pouvait poser question. »
La question du bienfondé de la vaccination chez des populations jeunes de moins de 65 ans non à risque du coronavirus se pose alors.
La balance bénéfice / risque (effets indésirables graves et décès après vaccin) se pose.
Je cite le professeur Toubiana qui témoigne que « les moins de 65 ans n’ont eu aucune surmortalité » lié au coronavirus, « les moins de 65 ans, ça représente 80% de la population ».
https://www.youtube.com/watch?v=J1F-oVVf8fI à la minute 6’52
Alors pourquoi vouloir leur faire prendre un seul risque lié au vaccin ?
Données issues des rapports publics ANSM du 02 et du 09/04/2021
A ce jour, Pfizer représente le vaccin le plus utilisé en France 72% des vaccinés et 88% des décès, soit n= 386/ 438 !
Malgré le détournement du regard des médias vers Astrazeneca 21% des vaccinés qui n’est pas le plus létal (1,8 décès / 100 000, cf tableau infra), il est indispensable de regarder les effets secondaires graves et les décès avec Pfizer :4,5 décès / 100 000.
Au total 11 769 823 vaccinés dont 5 552 effets indésirables graves et 438 décès, dont un décès après vaccination chez un interne en médecine de 24 ans, qui faut-il le rappeler, faisait donc partie de la population à risque 0.
Les ratios sont les suivants :
- 1 effet indésirable grave pour 2 127 vaccinés, ce qui est colossal.
Les effets indésirables graves comprennent entre autres : phlébites, embolies pulmonaires, AVC thrombotiques et hémorragiques, hémorragies, CIVD consommation intravasculaire disséminé et TVSC thromboses sinus veineux cérébral, infarctus du myocarde, SDRA, chocs allergiques graves anaphylactiques…
Alors que les effets du coronavirus se limitent à des pneumopathies bactériennes et des SDRA dans la majorité des cas décrits.
- 1 décès pour 27 000 vaccinés.
Nous sommes très très loin de l’innocuité.
Vous avez plus de chance de mourir du vaccin que de gagner au loto, 1 chance sur 2 000 000 au rang 2, 1 chance sur 19 000 000 au rang 1.
Tout essai clinique en phase 1 ou 2 avec un décès doit être arrêté ! DONC STOP !
Le nombre de vaccinés a progressé en 1 semaine de + 20% de 9 millions à 11 millions faisaient courir des risques d’effets indésirables graves et de décès à des populations très mal informées et ne risquant que très très peu de mortalité lié au corona : 93% des décès concernent les plus de 65 ans avec 65% de comorbidités déclarées.
D’une part, l’évolution du nombre de vaccinés croit à une vitesse très inquiétante +20% en une semaine, soutenue par une logistique colossale notamment financière qui incite à vacciner les médecins : 420 € pour 4 heures, dentistes : 280€, infirmières : 220€, vétérinaires : 160€!
D’autre part les centres de pharmacovigilance (CPV), débordés par l’afflux de signalements ne peuvent plus renseigner de manière satisfaisante ces effets indésirables graves et décès ce qui conduit à une « baisse » relative en pourcentage des effets indésirables graves et des décès, ce qui est faussement rassurant, du fait du manque de moyens humains et financiers sur les CPV.
On voit bien que les moyens engagés pour vacciner sont énormes alors que les moyens engagés pour recenser les effets indésirables graves et décès restent insuffisants.
Pour information, le site https://signalement.social-sante.gouv.fr/ permet de signaler les effets indésirables graves et les décès.
Pour vacciner il faut une minute, pour signaler il faut minimum une heure, le temps de collecter toutes les données cliniques, et les saisir !
https:/ /solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/guide_patients_declaration_ei.pdf
Il est indispensable de renseigner la date et l’heure de la vaccination et de l’évènement grave ou du décès pour pouvoir estimer l’imputabilité intrinsèque chronologique.
L’imputabilité (la causalité) établit la relation de cause à effet entre chaque médicament... et la survenue d’un événement… déterminé.
Plus l’évènement survient précocement après l’injection, plus il est suspect d’être en rapport avec cette injection.
On peut d’ores et déjà incriminer une imputabilité chronologique d’après les rapports ANSM étant donné que 68,5% des effets surviennent dans les moins de 24h et 84% surviennent dans les moins de 4 jours !
L’imputabilité est donc très grande !
EN CONCLUSION
Vaccin en phase de « test » phase 1 et 2 si un décès survient, on devrait arrêter l’essai !
Pfizer 72% des vaccinés (88% des décès), Astrazeneca 21%, Moderna 7% pour soit 11 770 000 vaccinés !
Dont
1 effets indésirables graves pour 2 127 vaccinés, ce qui est colossal.
1 décès pour 27 000 vaccinés. Nous sommes très très loin de l’innocuité. 438 décès post vaccins au total
Tout essai clinique en phase 1 ou 2 avec un décès doit être arrêté ! DONC STOP !
Pour vacciner il faut une minute, pour signaler il faut minimum une heure, le temps de collecter toutes les données cliniques, et les saisir !
Trop de moyen financier et humain sur la vaccination et pas assez sur le recensement des effets indésirables graves et des décès.
La vaccination, toutes marques confondues, doit être stoppée au moins un mois = PRINCIPE DE PRECAUTION
La HAS recommande à ce stade de n’utiliser le vaccin AstraZeneca que pour les personnes âgées de 55 ans et plus compte tenu du risque de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et de thrombose veineuse cérébrale (TVC) chez les personnes de moins de 55 ans.
Compte tenu des 3 117 effets indésirables graves de Pfizer, il semble logique de suspendre également ce vaccin chez les moins de 55 ans.
Il est nécessaire de transférer, adresser ces informations à vos médecins, infirmiers, pharmaciens, vétérinaires par le vecteur que je vous jugerez utile : paroles téléphones, papier courrier, mail, réseaux sociaux…
RECOMMANDATION De Denis AGRET à l’intention de mes confrères :
Il est indispensable de rappeler à tous les médecins cliniciens et en particulier urgentiste de poser la question à chaque fois qu’ils reçoivent un patient, si celui-ci a reçu dans les jours et ou les mois précédents une ou plusieurs doses de vaccin Covid. A chaque accident aigu type embolie pulmonaire, AVC, infarctus du myocarde, etc , se réféer à liste des évenements indésirables graves supra.
Et dans l’affirmative de recueillir la date et heure de la vaccination et de l’effet indésirable ou décès et l’obligation de le déclarer sur le site cf supra.
A Monsieur le président Emmanuel Macron, Je souhaite rappeler que tout l’enjeu de la science repose sur le contradictoire.
Ainsi est-il de l’intérêt de tous d’intégrer des personnes comme moi, c’est-à-dire, non convaincues par le consensus actuel.
Monsieur le président Emmanuel Macron, je veux bien postuler comme ministre de la Santé ou comme secrétaire d’Etat à la santé!
Vous devriez demander la démission de Mr Olivier Véran et de votre chef de cabinet Brice Blondel qui semble-t-il n’a pas jugé utile de vous informer de ma lettre !
En témoigne sa réponse ci-dessous Mr Le Président à ma lettre qui vous était adressée le 26/01/2021, vous pouvez encore changer d’équipe !!!
Avec mes salutations respectueuses.